Édimbourg est la dernière destination en date à donner de la voix contre un nombre de touristes toujours plus important. En 2017, la ville de 500 000 habitants a accueilli 4,1 millions de visiteurs. Face à un tel afflux, que ressentent les habitants ? Et quelles sont les solutions envisagées pour que la ville ne connaisse pas le même sort que d’autres villes européennes, à l’instar de Reykjavik ou Barcelone ?
À l'instar des anciens pays de l'ère soviétique, la Pologne est particulièrement réticente à l'immigration. À Varsovie, une capitale ancrée dans le catholicisme, les musulmans peinent à trouver leur place.
La totalité des démarches administratives devrait être dématérialisée d’ici 2022, a promis le Premier ministre début février. Un engagement qui a pour objectif « d'améliorer et personnaliser les services publics du quotidien », mais qui risque de laisser les « handicapés du numérique » sur le carreau. Selon le gouvernement, ils seraient 6 millions de Français inadaptés au numérique.
Paris, la ville lumière, est construite sur un réseau souterrain. Après plusieurs effondrements mortels, le roi Louis XVI crée en 1777 l’Inspection Générale des Carrières dont la mission est de restaurer et consolider le réseau souterrain. 241 ans plus tard, l’IGC – qui veille toujours à prévenir les éboulements – collabore avec le GIP qui contrôle ces galeries interdites au public par arrêté préfectoral depuis le 2 novembre 1955.
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“Y a des choses super dans le porno”… C’est vraiment dur à entendre. Le porno, quel qu’il soit, reste une industrie qui surfe sur le laisser-faire actuel, qui produit et cherche à vendre dans une logique commerciale, et donc les “producteurs” quels qu’il soient cherchent à ce que leurs produits soient le plus vu possible dans une logique commerciale capitaliste. Le problème fondamental reste que ces vidéos sont accessibles à tous, tout le temps, et que la “culture porno” est maintenant omniprésente et banalisée, et que avec une telle logique il est quasiment impossible d’y échapper. Comme vous dites, le porno a un impact sur les esprits, et cet omniprésence, cette omnipotence cool est préoccupante. Dire qu’on trouve le porno dangereux, c’est peu cool en tout cas, difficile de se faire entendre là-dessus. Le porno “bio”, ça fait pas rêver non plus. Y a une sorte de généralisation du voyeurisme, qui est quand même à la base un comportement sexuel particulier ; aujourd’hui, on est quasiment obligé de l’être, comme si les voyeurs – grâce aux moyens technologiques modernes – imposaient leur pratique à tous, avec en plus cette logique commerciale que j’évoquais précédemment. Je veux bien entendre que la pornographie puisse aider pour un certain nombre de choses, comme vous le décrivez vous-même, mais il faut aussi entendre que ça peut être un réel trauma et ruiner une sexualité jusque là relativement “saine”, ainsi que le fait qu’il y a une “vulnérabilité” au porno. Je trouve qu’on vit une époque très spéciale à ce point de vue là.